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365 résultats trouvés
Titre : | La grosse dame |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Delormel, Lucien ; Marcoud, Henri ; Briollet, Paul |
Interprète(s) : | Charlus [Louis-Napoléon Defer] |
Genre : | Café-concert |
Fichier audio : | |
Photo(s) : | |
Support d'enregistrement : | Disque |
Format : | 29 cm à saphir sans étiquette (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Pathé |
Numéro de catalogue : | 1803 |
Numéro de matrice : | 18397-CC |
Inscriptions complémentaires : | 1-10 |
Instruments : | chant homme, piano acc. |
État : | Exc++ |
Vitesse (tours/minute) : | 102 |
Matériel employé au transfert : | Stanton 150, pointe 1,7ET sur Shure M44G, Elberg MD12 : courbe flat, Cedar X, declick, decrackle, dehiss |
Date du transfert : | 27-03-2022 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-dessous. Embonpoint, obésité. Petite ceinture, chemin de fer, train, boulevard Ornano, place du Trocadero, obésité, embonpoint. Commissaire, justice, tribunal, syndicat des chemin de fer, actionnnaires, déraillement |
Texte du contenu : | La grosse dame
Charlus (1998), Vallez (1908) Paroles : Paul Briollet, Henri Marcoud - Musique : Lucien Delormel, Henri Marcoud - Publication : Paris (7, rue d'Enghien) : [s.n.], [1897] On trouvera ci-dessous : - Version par Charlus - Version par Vallez Charlus : Une dame qu’était grosse comme une tour Un matin prit la Ceinture pour Aller du boulevard Ornano À l’avenue du Trocadéro À cette gare, le train arrêté La femme comm' tout l'monde est montée En tournant l'dos hors du wagon Essaie de descendre à r’culons Mais l'conducteur qu’a pas r’marqué Qu'cette grosse dame descend l'dos tourné Croyant qu’elle veut monter dans l'train L’empoigne par son strapontin Et la r’colle dans l'compartiment Vlan ! Le train r'part, elle vient s’affaler Sur la banquette et veut d’mander C'que ça veut dire à ses voisins Mais ils rient tous comme un tas d’ s'rins Lorsque l'train arrive à Passy La dame comme tout l’monde est assis Pour la s’conde fois hors du wagon Essaie de descendre à r’culons Mais l’chef de train qu’a pas r’marqué Qu’la grosse dame descend l’dos tourné Croyant qu’elle veut r’monter dans l’truc L’empoigne par son volapük Et la r’colle dans l’compartiment Vlan ! Elle fit quinze fois l’tour de Paris Sans pouvoir descendre du fourbi Quand le train rentra au dépôt Elle avait maigri d' trente kilos Alors se l’vant d’un pas léger Elle s'dit : J’vas pouvoir déloger Puis ouvrant le compartiment Elle descendit en avant Mais l’inspecteur qu’avait r’marqué Qu'cette dame s’était fait r'morquer Par le ch'min d'fer depuis l’matin L’empoigne par son arrière-train Et la colle aux mains d' deux agents Vlan ! Chez l’commissaire on l’emmena D’vant la justice on la traîna L’tribunal l'accusa bien haut D’s’être fait trimballer pour la peau L’syndicat des ch’mins d’fer prouva Qu’elle voyageait chaque jour comme ça Et que ce n’était pas étonnant Si les actions baissaient tout l'temps Elle fut condamnée à payer Quinze fois l'prix du voyage entier Ceci prouve surabondamment Qu'y faut descendre d'un compartiment Ni par derrière ni par devant Vlan ! ------------------------------- Vallez : Une dame qu’était grosse comme une tour Un matin prit la Ceinture pour Aller du boulevard Ornano À l’avenue du Trocadéro À cette gare le train s'arrêtait Cette femme comme tout l'monde est montée En tournant l'dos hors du wagon Essaie de descendre à r’culons Mais l'conducteur qu’a pas r’marqué Qu’la grosse dame descend l’dos tourné Croyant qu’elle veut monter dans l'train L’empoigne par son strapontin Et la r’colle dans l'compartiment Vlan ! Le train repart, elle vient s’affaler Sur la banquette et veut d’mander C'que ça veut dire à ses voisins Mais ils rirent tous comme un tas d’ s'rins Lorsque l'train arrive à Passy La dame comme tout l’monde est assis Pour la s’conde fois hors du wagon Essaie de descendre à r’culons Mais l’chef de train qu’a pas r’marqué Qu’la grosse dame descend l’dos tourné Croyant qu’elle veut r’monter dans l’truc L’empoigne par son volapük Et la r’colle dans l’compartiment Vlan ! Elle fit quinze fois l’tour de Paris Sans pouvoir sortir du fourbi Quand l’train rentra au dépôt Elle avait maigri de trente kilos Alors se l’vant d’un pas léger Elle s'dit : J’vas pouvoir déloger Puis ouvrant le compartiment Elle descendit en avant Mais l’conducteur qu’avait r’marqué Qu' cette femme s'était fait trimballer Par le ch'min d'fer depuis l’matin L’empoigne par son strapontin Et la colle entre les mains des agents Vlan ! Chez l’commissaire on l’emmena D’vant la justice on la traîna L'tribunal la condamna bien haut D’s’être fait trimballer pour la peau L’syndicat des ch’mins d’fer prouva Qu’elle voyageait chaque jour comme ça Et que ce n’était pas étonnant Si les actions baissaient tout l'temps Elle fut condamnée à payer Quinze fois l'prix du voyage entier Ceci prouve surabondamment Qu'pour descendre d’un compartiment Faut attendre un bon déraillement Vlan ! - - - couplet dans la partition (3e couplet) Elle est affolée complètement Quand le convoit s' met en mouv'ment A la gar' d'Auteuil c'est kif-kif, Ell rest' dans l' train pour l' mêm' motif. Ell' pass' Grenell', Montrouge, Issy, La Maison-Blanch' Bel-Air, Bercy, Et à chaque fois hors du wagon Essaie de descendre à r'culons. Mais l' chef de gar' qu'a pas r'marqué Qu'la gross' dam' descent l' dos tourné Croyant qu'ell' veut monter dans l'train, L'empoigne par son gros machin Et la r'coll' dans l'compartiment. V'lan ! |
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