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Titre :	Aubade à Margarita
Compositeur(s) et-ou auteur(s) :	Piccolini, Henri ; Dumont, Ernest
Interprète(s) :	Charlus [Louis-Napoléon Defer]
Genre :	Café-concert
Fichier audio :
Photo(s) :
Support d'enregistrement :	Disque
Format :	29 cm saphir sans étiquette, (enregistrement acoustique)
Lieu d'enregistrement :	Paris, France
Marque de fabrique, label :	Pathé
Numéro de catalogue :	4740
Numéro de matrice :	26616-G
Date de l'enregistrement :	1908-04-xx ?
Instruments :	chant homme, orchestre acc.
État :	Exc++
Vitesse (tours/minute) :	89
Matériel employé au transfert :	Stanton 150, pointe 2,7ET sur Shure M44G, Elberg MD12 : courbe flat, Cedar X, declick, decrackle, dehiss
Date du transfert :	19-03-2022
Commentaires :	Texte du contenu ci-dessous.
Texte du contenu :	Aubade à Margarita Création : Zidner à l’Eldorado, Salvator au Petit Casino, Ribet à Parisiana, L. Diaz à la Cigale, Karl Ditan 1898) - reprises : Karl Ditan (1898), Chalrus (1898), Fred Gouin (1934) Paroles : Ernest Dumont - Musique : Henri Piccolini - Éditeur : Oberweiler-Lesourd - Paris / Marcel Labbé - Paris Puisque le printemps nous invite À chanter au plus vite La chanson des bécots Je viens, Margarita, ma reine Lancer la cantilène À tous les échos Mais j’ai bien peur, ma charmante Qu'on dit savante D’être nigaud J’ai peur ce soir Hélas de n' pas savoir {Refrain :} Ah ! Margarita, ma belle Puisqu’en ce jour l’amour nous appelle Tu vois, je suis en émoi Apprends-le-moi J’ignore de l’amour, ma belle Toutes les savantes ritournelles Et je ne rêve que de toi Apprends-le-moi Apprends-le-moi Oh oui ! L’amour, vois-tu, me trouble la cervelle Apprends-le-moi Oh oui ! Tu verras, mon rat Comme on s’aimera Margarita ! C'est vrai, je ne suis qu’un novice Mais j’ai de la malice Et poussé par l’amour Je sens, je l'avoue à ma honte Comme un désir qui monte Qui monte toujours À toutes les exigences J' dis oui d’avance C’est bien mon tour Prends-moi, mon rat Essaie et tu verras {au Refrain}