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Titre :	Ah ! Ma mhère, ah ! Maman - Ah ! ma mère, ah ! maman
Compositeur(s) et-ou auteur(s) :	Famechon, Edmond
Interprète(s) :	Patachon
Genre :	Café-concert
Fichier audio :
Photo(s) :
Support d'enregistrement :	Disque
Format :	17 cm aiguille (enregistrement acoustique)
Lieu d'enregistrement :	Bruxelles, Belgique
Marque de fabrique, label :	Zonophone international Company
Numéro de catalogue :	11363
Date de l'enregistrement :	1902
Instruments :	piano acc.
Vitesse (tours/minute) :	73
Matériel employé au transfert :	Stanton 150, pointe 2,5ET sur Shure, Elberg MD12 : courbe flat, Cedar duo declickle, dehiss
Date du transfert :	16-09-2023
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Texte du contenu :	Ah ! ma mhère Ah ! maman Création : Edmond Famechon (1896 sous le titre Ah ! ma mère Ah ! maman - sous-titré Exclamations comiques) Paroles et musique : Edmond Famechon - Éditeur : Paul Dupont, Paris (1896) Charlus : Grands ou petits d'ce monde, Nous sommes, tôt ou tard, Atteints, tous à la ronde, D'un bobo quelque part ; Et dès qu'apparaît l'germe De n'importe quel mal, J'en sais qui beuglent ferme Sur un ton lacrymal : {Refrain :} Ah ! ma mère, Ah ! maman, Pourquoi donc souffrir ainsi sur la terre ? Ah ! ma mère, Ah ! maman, Pourquoi donc souffrir un pareil tourment ? Vous connaissez l'histoire D'Héloïse, d'Abélard Plus d'un d'vous, c'est notoire Trouve ce conte rigouillard Oui mais, que l'on vous fasse Subir le même sort, Vous ferez la grimace Et beuglerez bien fort : {Refrain :} Ah ! ma mère, Ah ! maman, Pourquoi donc souffrir ainsi sur la terre ? Aïe ! ma mère, Aïe ! maman, Pourquoi donc souffrir un pareil tourment ? Le jour de son mariage, Toute jeune mariée a Dans l'cœur un doux présage, Et chante l'Ave Maria. Mais l'soir quand ell' retire Son vêt'ment virginal, Son époux l'entend dire Dans le lit conjugal : {Refrain :} Aïe ! ma mère, Aïe ! maman, Pourquoi donc souffrir ainsi sur la terre ? Aïe ! ma mère, Aïe ! maman, Pourquoi donc souffrir un pareil tourment ? - - - La partition : Grands ou petits d'ce monde, Nous sommes, tôt ou tard, Atteints, tous à la ronde, D'un bobo quelque part ; Et dès qu'apparaît l'germe De n'importe quel mal, J'en sais qui beuglent ferme Sur un ton lacrymal : {Refrain :} Ah ! ma mère, Ah ! maman, Pourquoi donc souffrir ainsi sur la terre ! Ah ! ma mère, Ah ! maman, Pourquoi donc souffrir un pareil tourment. Tenez, un' chos' terrible ! C'est l'amour. À vingt ans, Quoiqu' n'étant pas sensible, J'ai subi ses tourments ; Car dans la premièr' pomme Où j'mordis à bell's dents, J'ai grincé... Dieu sait comme ! J'm'en suis souv'nu longtemps. {au Refrain} Mon voisin, un brave homme, Pour un mal, peu nouveau, Hier soir beuglait comme... Je peux l'dir', comme un veau ! Écumant, l’œil en flamme, Tout cela parce que Y v'nait d'pincer sa femme En train d'lui faire... des corn's. {au Refrain} Le jour de son mariage, Toute jeune mariée a Dans l'cœur un doux présage, Et chante : l'Ave Maria. Mais l'soir quand ell' retire Son vêt'ment virginal, Son époux l'entend dire Sous le toit conjugal : {au Refrain} Mais tout n'est qu'habitude ; Ell' s'y fait facil'ment. Et sous cette latitude, Qui lui plaît joliment ! Les mois pass'nt, tout est rose ! Ell' crie : « Bis et bravo ! » Mais, crac ! Une nouvelle cause Lui fait dire à nouveau : {au Refrain}