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Titre : | Les sapins |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Dupont, Pierre |
Interprète(s) : | Noté, Jean |
Fichier audio : | |
Photo(s) : | ![]() |
Support d'enregistrement : | Disque |
Format : | 29 cm saphir etched (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Pathé - APGA |
Numéro de catalogue : | P2103-2 |
Numéro de matrice : | 65325-RA |
Inscriptions complémentaires : | 28-8-12 |
Instruments : | orchestre acc. |
État : | Exc++ |
Vitesse (tours/minute) : | 85,2 |
Matériel employé au transfert : | Garrard 401, SME 3012, pointe 2,0ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe flat, passe-bas 4k, Cedar X declick, decrackle, dehiss |
Date du transfert : | 22-11-2012 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-dessous. |
Texte du contenu : | Les sapins
Création : Pierre Dupont (1846) - reprises : Paul Aumonier, Jean-Louis Lassalle, Fernand Baer, Chambon, Maréchal, Jean Noté, Louis Nucelly, Marcel Journet, Albers, Paul Payan, Weber, Gerbel, etc... Paroles et musique: Pierre Dupont - Éditions Marcel Labbé La partition : J’allais cueillir des fleurs dans la vallée Insouciant comme un papillon bleu À l’âge où l’âme à peine révélée Se cherche encore et ne sait rien de Dieu Je composais avec amour ma gerbe Quand au détour du coteau l’aspect noir De sapins verts couvrant un sol sans herbe Me fit prier ainsi sans le savoir {Refrain:} Dieu d’harmonie et de beauté Par qui le sapin fut planté Par qui la bruyère est bénie J’adore ton génie Dans sa simplicité Le sapin brave et l’hiver et l’orage Chaque printemps lui fait un éventail Droite est sa flèche et vibrant son feuillage L’art grec s’y mêle au gothique travail Ses blancs piliers d'un souffle les balance Sans plus d’effort que les moindres roseaux Chœur végétal, symphonie, orgue immense Qui darde au ciel d’innombrables tuyaux {au Refrain} Les bûcherons, dont la hache est sonore Sapin géant coupent tes bois légers Qui porteront du couchant à l’aurore Hommes, bestiaux et produits échangés De ta résine on enduira tes planches Tu doubleras les caps sombres sans peur Tantôt voguant au gré des voiles blanches Tantôt poussé par l’ardente vapeur {au Refrain} L’archet de Dieu règle votre cadence Musiciens rythmés par l’aquilon Un jour des bals vous mènerez la danse De l’orme agreste au splendide salon Vous traduirez des accents dont la flamme Cherche des cœurs l’invisible chemin Aux violons vous donnerez une âme Et vibrerez sous un archet humain {au Refrain} Heureux sapins, vos solives légères Font les chalets, construisent les hameaux Dans vos taillis se cachent les bergères Et les buveurs dorment sous vos rameaux L’humanité par vos soins est servie Bois familiers, dans sa joie et son deuil Dans un berceau vous accueillez sa vie Et vous clouez ses morts dans le cercueil {au Refrain} Arbres divins respectés des tempêtes Vous inspirez le calme et ces douceurs Qu’aime la foule aux vers de ses poètes Et qu’Apollon enseignait aux neuf sœurs Quand au hasard la sagesse infinie Éclaire un front, c’est à l’ombre des bois Reviens, Orphée, y rêver l’harmonie Viens, ô Lycurgue, y méditer des lois {au Refrain} |
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