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63 résultats trouvés
Titre : | Les myrtes sont flétris |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Faure, Jean-Baptiste ; Nadaud, Gustave |
Interprète(s) : | Anonyme(s) ou interprète(s) non identifié(s) |
Fichier audio : | |
Support d'enregistrement : | Cylindre |
Format : | Lioret n°3 (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Lioret |
Date de l'enregistrement : | 1895-1900 |
Couleur de la pâte : | Celluloïd blanc |
Vitesse (tours/minute) : | 109 |
Matériel employé au transfert : | Archéophone, pointe 78 t sur Ortofon, Elberg MD12 : courbe flat, Cedar X declick, decrackle, dehiss |
Date du transfert : | 01-06-2010 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-dessous. Henri Lioret n'a jamais eu la maîtrise technique de son propre brevet consacré au moulage et à la duplication des cylindres, c'est pourquoi on ne trouve jamais deux exemplaires de la même session d'enregistrement chez Lioret. Voir à ce propos : Henri Chamoux, La diffusion de l'enregistrement sonore en France à la Belle Époque, 2015, pages 204 à 214 du pdf. Une voix anonyme d'excellente qualité |
Texte du contenu : | Les myrtes sont flétris
Création : Max Bouvet (1875) - reprises : Alexis Boyer, René-Antoine Fournets, Amédée Sujol, Paul Daraud, Jean Noté, Émile Soubeiran, Albers, Perval, Louis Lynel, Lucien Muratore, Robert Couzinou, ... Paroles : Gustave Nadaud - Musique : Jean-Baptiste Faure - Éditeur : Au Ménestrel, Heugel et Cie, Paris Du temps de nos amours Ma toute belle Vous entendiez toujours Ma ritournelle Je comptais vos trésors Et vos merveilles Vous vous bouchiez alors Les deux oreilles Je vous disais ceci Cela ; cela, mille autres choses Je vous parlais aussi Des lis, des myrtes et des roses De vos jardins fleuris Fermez les portes Les myrtes sont flétris Les roses mortes ! L'amour m'a consolé Non pas le vôtre Pour un cœur envolé J'en trouve un autre Les jours suivent les soirs En ce bas monde Vos cheveux sont trop noirs J'aime une blonde C'est ici près de vous Que j'ai trouvé l'art de lui plaire Ses yeux bleus sont plus doux Que votre œil noir n'était sévère Voyez comme sa main Presse la mienne… Passez votre chemin Dieu vous soutienne ! Elle me plaît ainsi Ne vous déplaise En prenez-vous souci ? J'en suis fort aise Eh quoi ! vous douteriez De ma parole ? Je crois que vous riez Vous êtes folle De votre grand pouvoir Vous connaissez mal la mesure Vous allez la savoir Et s'il faut qu'ici je le jure Je jure devant vous Devant Dieu même… Je jure à vos genoux Que je vous aime ! |
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