Recherche avancée | Recherche tout champ | Nouvelle recherche | Page d'accueil |
9 résultats trouvés
Titre : | Rire, pleurer |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Maquis, Gaston ; Gonthier, Paul |
Interprète(s) : | Mercadier, Émile |
Genre : | Café-concert |
Fichier audio : | |
Support d'enregistrement : | Cylindre |
Format : | Standard (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | [Marque ou fabricant non identifié]? Boîte bleue, monogramme HT (ou monogramme HL, L doublé et inversé en miroir) |
Instruments : | piano acc. |
Couleur de la pâte : | marron |
État : | Exc |
Vitesse (tours/minute) : | 124 env. |
Matériel employé au transfert : | Archéophone |
Date du transfert : | 01-11-2008 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-dessous. |
Texte du contenu : | Rire, pleurer
Création : Mercadier, Anna Thibaud (1894) - reprises : Pellat, Georgel, Marjal, Hector Pellerin Paroles : Paul Gonthier - Musique : Gaston Maquis - Éditeur : À la Chanson moderne - Paris Mercadier, Pellat : Tu m’as causé beaucoup de peines Et tu m’as trompé bien souvent Mais j’ai pardonné tes fredaines Quand on aime, on est indulgent Moi, je n’osais plus rien te dire Car, au lieu de me rassurer {x2 :} Tu te mettais bien vite à rire Lorsque tu me voyais pleurer Mais puisque, aujourd’hui, l’on te quitte Allons, reviens à l’ancien nid Nous nous aimerons mieux ensuite Lorsque ton cœur sera guéri Va, tu n’auras rien à me dire Et, crois-le, pour te rassurer {x2 :} Je te promets de ne pas rire Si, parfois, je te vois pleurer ---------------- Anonyme : Tu m’as causé beaucoup de peines Et tu m’as trompé bien souvent Mais j’ai pardonné tes fredaines Quand on aime, on est indulgent Moi, je n’osais plus rien te dire Car, au lieu de me rassurer {x2 :} Tu te mettais bien vite à rire Lorsque tu me voyais pleurer Un soir, je te surpris, parjure À notre amour, à mes serments J’eus au cœur comme une morsure Dont j’ai souffert longtemps, longtemps Je fus témoin de ton délire Et de tout ce qui se passa {x2 :} Mais, lorsque tu te mis à rire J’ai pleuré d’avoir été là Mais puisque, aujourd’hui, l’on te quitte Allons, reviens à l’ancien nid Nous nous aimerons mieux ensuite Lorsque ton cœur sera guéri Va, tu n’auras rien à me dire Et, crois-le, pour te rassurer {x2 :} Je te promets de ne pas rire Si, parfois, je te vois pleurer |
Recherche avancée | Recherche tout champ | Nouvelle recherche | Page d'accueil |