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Titre : | Un quadrille populaire |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Codini, Pietro ; Amelet |
Interprète(s) : | Charlus [Louis-Napoléon Defer] |
Genre : | Café-concert |
Fichier audio : | |
Photo(s) : | |
Support d'enregistrement : | Disque |
Format : | 29 cm saphir sans étiquette, (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Pathé |
Numéro de double-face : | 2771 |
Numéro de catalogue : | 994 |
Numéro de matrice : | 89640-RA |
Date de l'enregistrement : | 1912-11-xx |
Instruments : | chant homme, orchestre acc. |
État : | Exc++ |
Vitesse (tours/minute) : | 89 |
Matériel employé au transfert : | Stanton 150, pointe 1,7ET sur Shure M44G, Elberg MD12 : courbe flat, Cedar X, declick, decrackle, dehiss |
Date du transfert : | 29-03-2022 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-dessous. |
Texte du contenu : | Un quadrille populaire
Paroles : Amelet - Musique : Pietro Codini - Éditeur : Amelet Le soir de la fête nationale On dansait sur la place Pigalle Je n'ai pas voulu me mettre au lit Sans réchauffer mes abattis Ayant r'marqué sur un banc une jolie p'tite ingénue au nez retroussé, je lui dis : Mad'moiselle, souffrez que je prenne Votre petite main dans la mienne Tralalalala lalala... Pour suer un quadrille avec vous Ça vaut dix mille balles comme un sou Tralalalala lalala... La musique est vraiment prenante Ne trouvez-vous pas, ma charmante ? - Oh si, monsieur, y a pas d'erreur On dirait une pompe à vapeur Moi, j' dis : Y a pas d' danger d' s'étaler, c'est du pavé, du vrai pavé, du bon pavé d' la République. Assez du tango, d' la likette Du boston et d' la chaloupette Tralalalala lalala... Un p'tit avant-deux bien tassé C'est tout c' qu'il y a d' bien balancé Tralalalala lalala... C'est délicieux quand on s' retourne Et que l'un contre l'autre on tourne - Oui, monsieur, on est fondu Pas un centimètre de perdu - Mad'moiselle, vous avez un œil malicieux - J'en ai deux, monsieur - Oh ! je vois bien, ils sont pas dans votre poche - Ça m' s'rait difficile, j'en ai pas, d' poche - Vous n'en avez pas ? faites voir - Ah ! bas les pattes ou j' mords Allez-y, levez la gambette Je veux en prendre pour ma galette Tralalalala lalala... Après ça, ma gosse, nous irons Tous les deux faire une collation Tralalalala lalala... Monsieur, taisez-vous, j' vous en prie J'aime pas qu'on dise des cochonn'ries Si vous voulez m' collationner Commencez donc par m'épouser - Vous épouser ? rien qu' ça ? d'abord, moi, ma p'tite, je n' me marierai jamais - Pourquoi ? - Parce que ça m' f'rait d' la peine - Pourquoi qu' ça vous f'rait d' la peine ? - Parce que j' s'rais jaloux - Pourquoi qu' vous seriez jaloux ? - Parce que j' s'rais cocu - Pourquoi qu' vous seriez cocu ? - Parce que j' l'aurais mérité - Pourquoi qu' vous l'auriez mérité ? - Mais parce que j' m' s'rais marié, voyons ! - Ah ! vous m' faites marcher - Mais non, j' vous fais danser Attaquons la dernière figure Attention aux éclaboussures Ah là ! balancez-vous là ! Ah sapristi ! que l' ciel est noir ! Dépêchons-nous, il va pleuvoir Allez là, aïe, ... Dans votre petit nez en trompette Il tombe des gouttes, ma mignonnette Et, ma foi, comme j'ai qu'un p'tit pépin J' vous dis au r'voir, à l'an prochain ! |
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