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171 résultats trouvés
Titre : | Chant des zouaves (Papa l'Arbi) |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Richoux, L. |
Interprète(s) : | Bergeret, Léonce |
Qualité(s) ou établissement d'exercice : | Casino de Paris |
Fichier audio : | |
Photo(s) : | |
Support d'enregistrement : | Disque |
Format : | 19 cm aiguille (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Odeon International talking machine Co.m.b.H. |
Numéro de catalogue : | 6247 |
Numéro de matrice : | P1095 |
Date de l'enregistrement : | 1905-02-xx |
État : | Exc++, monté à la fin |
Vitesse (tours/minute) : | 82 |
Matériel employé au transfert : | Garrard 401, SME 3012, pointe 1,5ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe flat, passe-bas 5kHz, Cedar X declick, decrackle, dehiss |
Date du transfert : | 11-01-2014 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-dessous. Sur l'air de Papa l'Arbi, 35 sous la paire de souliers, Algérie, Crimée, régiment, zouaves |
Texte du contenu : | Papa l'arbi
Sous le soleil brûlant de l'Algérie Notre étendard flottait calme et vainqueur. Au cri d'appel de la Mère Patrie Du Nord il vole affronter la rigueur. Va déployer au vent de la Crimée Tes plis sacrés, ô mon noble drapeau ! Déjà noirci de poudre et de fumée Au premier rang tu seras le plus beau. Refrain: Hourrah ! hourrah ! mon brave régiment Le canon résonne [Le tambour résonne] Et le clairon sonne Hourrah ! hourrah ! Zouaves, en avant ! Hourrah ! hourrah ! en avant ! en avant ! Pan ! pan ! l'Arbi, [Papa l'Arbi] Les chacals, ces vaillants guerriers Qui ne laissent pas les colons nu-pieds ! Cinquante sous la paire de souliers Approchez ! venez près des quartiers Vous y trouverez aussi des sous-pieds Qui sont payés. Sans crainte, amis, on peut fouler la terre Qui, tôt ou tard, doit recouvrir nos corps Lorsqu'on sent là, seul bien du militaire Un coeur loyal, une âme sans remords ! Heureux celui qui meurt dans les batailles Sous son drapeau, près de ses vieux amis, Il a du moins de nobles funérailles Et Dieu bénit qui meurt pour son pays ! Que le conscrit, tout bas, se désespère S'il est un jour sans vivres, sans abri ! Le vieux chacal sait dormir sur la terre ; Le sol suffit à son corps endurci. Le vieux chacal pour chasser la famine, A des moyens qu'en Afrique il apprit. Les maraudeurs fournissent la cuisine On vit toujours aux frais de l'ennemi ! |
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