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Titre :Rire, pleurer
Compositeur(s) et-ou auteur(s) :Maquis, Gaston ; Gonthier, Paul
Interprète(s) :Mercadier, Émile
Genre :Café-concert
Fichier audio :
Photo(s) :
PhotoPhoto
Photo
Support d'enregistrement :Disque
Format :27 cm aiguille (enregistrement acoustique)
Lieu d'enregistrement :Paris, France
Marque de fabrique, label :Odeon International talking machine Co.m.b.H.
Numéro de catalogue :33807
Numéro de matrice :xp663
Date de l'enregistrement :1905
Instruments :piano acc.
État :Exc++
Vitesse (tours/minute) :96,6
Matériel employé au transfert :Garrard 401, SME 3012, pointe 2,8ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe flat, passe-bas 4kHz, Cedar X declick, decrackle, dehiss
Date du transfert :14-10-2014
Commentaires :Texte du contenu ci-dessous. Pochette en patchwork
Texte du contenu :Rire, pleurer

Création : Mercadier, Anna Thibaud (1894) - reprises : Pellat, Georgel, Marjal, Hector Pellerin

Paroles : Paul Gonthier - Musique : Gaston Maquis - Éditeur : À la Chanson moderne - Paris


Mercadier, Pellat :

Tu m’as causé beaucoup de peines
Et tu m’as trompé bien souvent
Mais j’ai pardonné tes fredaines
Quand on aime, on est indulgent
Moi, je n’osais plus rien te dire
Car, au lieu de me rassurer
{x2 :}
Tu te mettais bien vite à rire
Lorsque tu me voyais pleurer

Mais puisque, aujourd’hui, l’on te quitte
Allons, reviens à l’ancien nid
Nous nous aimerons mieux ensuite
Lorsque ton cœur sera guéri
Va, tu n’auras rien à me dire
Et, crois-le, pour te rassurer
{x2 :}
Je te promets de ne pas rire
Si, parfois, je te vois pleurer


----------------

Anonyme :

Tu m’as causé beaucoup de peines
Et tu m’as trompé bien souvent
Mais j’ai pardonné tes fredaines
Quand on aime, on est indulgent
Moi, je n’osais plus rien te dire
Car, au lieu de me rassurer
{x2 :}
Tu te mettais bien vite à rire
Lorsque tu me voyais pleurer

Un soir, je te surpris, parjure
À notre amour, à mes serments
J’eus au cœur comme une morsure
Dont j’ai souffert longtemps, longtemps
Je fus témoin de ton délire
Et de tout ce qui se passa
{x2 :}
Mais, lorsque tu te mis à rire
J’ai pleuré d’avoir été là

Mais puisque, aujourd’hui, l’on te quitte
Allons, reviens à l’ancien nid
Nous nous aimerons mieux ensuite
Lorsque ton cœur sera guéri
Va, tu n’auras rien à me dire
Et, crois-le, pour te rassurer
{x2 :}
Je te promets de ne pas rire
Si, parfois, je te vois pleurer


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Permalien : http://www.phonobase.org/10130.html

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